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Pangolins et mantilles

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Blog d'information alternative - Nous vivons une époque troublée de dictature "sanitaire" et de manipulation à l'échelle mondiale... 


Refus de voter la proposition de loi socialiste sur la vaccination obligatoire : deux sénatrices s'expriment

Publié par pangolins&mantilles sur 15 Octobre 2021, 17:50pm

Covid-19 : le Sénat rejette la proposition de loi sur l’obligation vaccinale

Le vaccin contre le covid-19 ne rejoindra pas la liste des vaccinations obligatoires. Les sénateurs n’ont pas adopté ce 13 octobre la proposition de loi déposée par les socialistes. Leur groupe s’est retrouvé isolé. Le gouvernement promet de poursuivre sur la voie de la pédagogie.

 

Intervention de la sénatrice Laurence MULLER-BRONN expliquant les raisons de son refus de voter la proposition de loi présentée par les socialistes. Ses arguments sont solides et étayés.

Intervention d'une autre sénatrice, Sylviane Noël, refusant de voter la proposition de vaccination obligatoire déposée par les sénateurs socialistes.

 

Nouveau revers pour les partisans d’une vaccination obligatoire contre le covid-19 en population générale, au même titre que les 11 vaccins imposés aux enfants nés à partir de 2018. Le Sénat n’a pas adopté la proposition de loi « instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 ». Le texte, déposé par les membres du groupe socialiste fin août, a été rejeté ce 13 octobre en séance publique, par 262 voix contre 64. Cette initiative parlementaire n’ira donc pas plus loin...

 

La semaine dernière, le texte n’avait déjà pas convaincu la commission des affaires sociales dans sa grande majorité. Dès le 24 juillet, les sénateurs socialistes ont tenté d’insérer cette disposition en amendant le projet de loi instaurant l’obligatoire vaccinale chez les soignants et le passe sanitaire. Il avait été rejeté par 262 voix contre 76.

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Le Sénat refuse la vaccination obligatoire, avec un discours remarqué de Laurence Muller-Bronn

par France-Soir

 

On notera une intervention remarquée de Laurence Muller-Bronn, sénatrice du Bas-Rhin (apparentée LR), qui a expliqué son "non" à cette proposition de loi à la tribune.

Elle a déploré que "ceux qui osent douter, réfléchir, faire un autre choix [que celui de la vaccination obligatoire généralisée] seraient d'obscurs complotistes." Soulignant qu'on trouve parmi eux des institutions très sérieuses : Académie de médecine contre une troisième dose généralisée, Alain Fischer (Monsieur Vaccin) contre la vaccination obligatoire, "le contexte ne le justifiant pas", ou encore le Conseil de l'Europe. Rappelant les décisions des pays nordiques sur l'administration du vaccin Moderna, l'inscription du principe de précaution dans la Constitution, le caractère conditionnel de l'autorisation de mise sur le marché des vaccins. Enchaînant sur les nombreux éléments alertant sur l'insuffisance des preuves sur l'efficacité et l'innocuité du vaccin, l'effet sur la transmission, les effets sur les jeunes, les femmes enceintes, ainsi que sur "les dégâts psychiques des injonctions sanitaires". Il n'y a "pas de consensus scientifique sur la vaccination de masse", poursuit-elle. Réhabiliter l'immunité naturelle, rendre aux médecins le droit de soigner... sont quelques-unes des préconisations qu'elle recommande. "Quelle légitimité aurions-nous pour instaurer de manière autoritaire une vaccination obligatoire et une troisième dose", alors que des spécialistes "doutent" ? "Nous avons besoin d'un débat contradictoire", conclut-elle, "le nourrir d'une information loyale, transparente et indépendante". "Nous ne sommes pas la chambre d'enregistrement du Conseil scientifique", lâche-t-elle. "Il est de notre devoir, en tant qu'élus de la République, représentant les Français, tous les Français, de restaurer le droit commun et les libertés publiques, car il y va de leur confiance." Faire un bilan rationnel, en "sortant de la doctrine tout-vaccinal", "plutôt que de gouverner par la peur et le contrôle".

Cinq minutes d'un discours de bon sens qu'on croyait disparu ou presque dans l'enceinte parlementaire, mais qui a cette fois été entendu.

 

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