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Pangolins et mantilles

Pangolins et mantilles

Blog d'information alternative - Nous vivons une époque troublée de dictature "sanitaire" et de manipulation à l'échelle mondiale... 


" Vous n'aurez rien et vous vivrez heureux ", vraiment ? (part 2)

Publié par pangolins&mantilles sur 23 Décembre 2022, 10:58am

Catégories : #FORUM ECONOMIQUE MONDIAL DE DAVOS, #KLAUS CHWAB, #EUTHANASIE, #DÉPOPULATION, #INFLATION, #MONNAIE NUMÉRIQUE, #CRÉDIT SOCIAL, #TRANSHUMANISME

SOURCE : Laurent Aventin - Le Courrier des Stratèges 

Il s’agit de la seconde partie d’un article publié le 30 juillet dernier sur le Courrier des Stratèges.
La société de contrôle qui se met en place ne conduira personne au bonheur, pas même ceux qui sont aux commandes de cette idéologie mortifère.
L’inflation provoquée par la mauvaise gestion de la crise sanitaire vient appauvrir l’occident autant que les pays pauvres.
La mise en place de la monnaie numérique privera encore davantage les citoyens de leur liberté, toutes les transactions seront enregistrées et connues en temps réel.
La procréatique et l’euthanasie sont entrées dans nos modes de vie au profit…de BIG  PHARMA, chargé de la maitrise d’œuvre d’un agenda décidé dans les couloirs du Forum économique mondial.
Sans réaction massive et pacifique des populations contre ces politiques, nous serons dépossédés de tout, même de nos droits les plus fondamentaux.

 

De l’argent numérique au crédit social à la chinoise *

La monnaie numérique arrive en 2022, la Banque centrale vient de nous l’annoncer. Elle supplantera bientôt la monnaie scripturale ; de pièces et de billets vous n’aurez plus besoin non plus. Toutes vos transactions seront connues en temps réels et elles pourront aussi être bloquées instantanément. C’est un bon commencement pour un contrôle à la chinoise.

Vos débits sont de plus en plus limités sous prétexte de piratage électroniques des moyens de paiement et des transactions. Vos transferts vers d’autres comptes sont également limités et même vos virements de compte à compte sont plafonnés dans des limites régulièrement revues à la baisse. On vous complexifie la vie en vous demandant des codes : code carte, confirmation d’achat par code réceptionné par sms, code spécifique et supplémentaire pour les achats…

Tout cela fait partie d’une stratégie qui consiste à passer à la numérisation de la monnaie et l’instauration d’une micropuce injectée dans la main qui permettra d’incorporer vos moyens de paiements, votre identité, vos papiers administratifs (permis de conduire, etc.). Mais ces technologies embarquées permettront aussi de prendre le contrôle de vos personnes. Il ne s’agit aucunement de science-fiction mais de technologies existantes et utilisées dans le domaine médical. Le détournement de ces technologies au contrôle des personnes est clairement décrit dans le dossier intitulé « Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés »

Peut-on être heureux de cela ?

L’inflation provoquée pour appauvrir les populations et les rendre plus dépendantes de l’Etat

La politique sanitaire justifiée par l’occident pour lutter contre l’épidémie de Covid a été révélatrice d’une inflation délibérément provoquée par le blocage de l’économie (confinement), la rupture des chaînes d’approvisionnement et le paiement de primes compensatoires au blocage de l’activité économique. Notamment dans les métiers du commerce et pour les travailleurs indépendants qui dépendent essentiellement d’entreprises plus importantes qui ont également bénéficié des mesures de chômage partiel pour leurs salariés. La planche à billets a généreusement fonctionné pour un résultat qui s’est avéré plutôt mauvais en matière sanitaire.

L’inflation observée aujourd’hui en occident a donc été engendrée alors que les solutions sanitaires efficaces et peu coûteuses ont été volontairement écartées – comme l’usage de l’ivermectime – au profit d’une industrie pharmaceutique qui s’est enrichie en très peu de temps. Les politiques de confinement ont en revanche été peu utiles et les politiques sanitaires peu efficaces, désastreuses pour l’économie.

La caractéristique de cette première étape consistait à contrôler les comportements par la peur, étape plutôt réussie au regard de l’acceptation par les populations des injections expérimentales produites par des firmes qui sont régulièrement condamnées pour fraudes, abus de pouvoir, transgression des lois de santé publique et conflits d’intérêts divers et variés au point de payer des milliards de dollars d’amende dans un contexte politico-économique qui leur est généralement très favorable au regard des liens entretenus avec les milieux politiques. Autant dire que ce sont les grands gagnants d’une crise dont ils sont les principaux acteurs.

Le second constat repose sur le transfert de capitaux du secteur public – les vaccins ont été achetés avec l’argent du contribuable – au secteur privé, octroyant à Big Pharma un pouvoir considérable. Ce pouvoir est renforcé par la malversation car Pfizer et Moderna ont imposé les résultats biaisés de leurs études cliniques pour vendre leurs produits avec la collaboration des régulateurs de politique sanitaire (HAS, ANSM, Santé publique France… en France) et des chefs d’Etat dont le rôle au sein du Forum économique mondial n’est pas étranger, pas davantage les conflits d’intérêts régulièrement dénoncés mais rarement sanctionnés.

Enfin, l’inflation provoquée par ces transferts massifs de capitaux, la politique d’endettement induite, conduisent à la paupérisation simultanée des citoyens. Un appauvrissement direct provoqué par la hausse des prix des biens de consommation incompressibles comme les énergies ou encore l’alimentation. L’appauvrissement indirect provoqué par l’Etat – encore – se caractérise par une augmentation de la TVA proportionnelle à l’augmentation des prix sur les biens de consommation – chacun saura se réjouir du chèque de 100€ envoyé aux citoyens par l’Etat alors que la facture énergétique des foyers va augmenter de plusieurs milliers d’euros par an entre le carburant et le chauffage des logements.

Voilà le sens de « vous n’aurez rien… ». En revanche le bonheur annoncé relève d’une dialectique d’endormissement, voire d’hypnose.

Même le droit de se reproduire sera conditionné

L’ectogenèse (utérus artificiel) est actuellement parvenue à un point de non-retour avec l’annonce en 2017 d’une gestation artificielle d’agneaux par une équipe anglosaxonne. C’est la technique utilisée, simple et novatrice, qui nous questionne ainsi que son utilisation non dissimulée pour la procréatique humaine, c’est-à-dire le business de l’industrie pharmaceutique. Des vidéos de chimère humaine (croisement homme-animal) ont circulé sur le web ainsi que des annonces chinoises et clandestines d’une gestation humaine artificielle réussie depuis la fécondation in vitro jusqu’à la naissance – si l’on peut encore utiliser ce mot dont l’étymologie devient caduque.

La chosification de l’être humain et le transhumanisme – c’est-à-dire l’aboutissement de l’eugénisme porté à ses origines par Francis Galton, cousin de Darwin – devrait atteindre son apogée dans les années à venir. La procréatique offre un marché de plusieurs centaines de milliards de dollars avec la PMA et la GPA, elle devrait passer à la vitesse supérieure avec la gestation artificielle de l’espèce humaine, c’est-à-dire le droit de procréer mais pas n’importe comment. Sous assistance biotechnologique et sous contrôle des « blouses blanches ». La désappropriation de la maternité fait aussi partie de l’affirmation mensongère de Schwab « vous n’aurez rien et vous vivrez heureux ».

Les troubles majeurs du cycle féminin par les injections Covid affectent la santé reproductive des femmes. On peut légitimement se demander si ces effets secondaires ne sont pas provoqués pour développer à court terme le marché de la gestation artificielle. « Vous ne pouvez plus vous reproduire, nous pouvons vous aider » serait un slogan que l’on pourrait entendre d’ici 3 ans. Ce ne serait ni gratuit ni sans conséquence sur l’état psychologique des enfants conçus de cette manière. Une pratique qui viendrait renforcer la toute-puissance d’une gouvernance sanitaire où Big Pharma serait la clef de voute de la gouvernance mondiale.

De la grossesse aussi nous serions dépossédés… pour votre bonheur semble-t-il comme l’annonçait Henri Atlan dans son ouvrage « l’utérus artificiel ».

 

« L’euthanasie » lorsque vous coûterez plus que vous ne rapportez à vos maîtres

C’est aussi de votre vie dont vous pourriez ne plus disposer car le totalitarisme abouti est celui par lequel votre vie est conditionnée à une totale soumission. Le Nouvel ordre mondial ne laisse aucune alternative à tout autre choix qui n’est pas issu du cadre institué par les nouveaux maîtres du monde.

L’euthanasie – c’est-à-dire le droit de recevoir la mort – décision parfois prise par le corps médical dans certains pays lorsque les personnes sont trop malades pour décider d’elles-mêmes et en l’absence de famille – représente une dérive évidente dont l’évolution ne laisse pas beaucoup d’options. En effet, l’accompagnement par les soins palliatifs à domicile reste coûteux même s’il l’est 10 à 26% moins qu’une hospitalisation. En France, les différents gouvernements n’ont jamais permis de développer des unités de soins palliatifs suffisantes pour faciliter cet accompagnement respectueux de la personne. L’euthanasie est plus simple et plus radical. Par ailleurs, la mauvaise gestion de la douleur dans le circuit hospitalier incite les souffrants à demander la mort. C’est tout à fait humain, ce qui l’est moins c’est son exploitation prévisible. Moins coûteux ce (mauvais) traitement relance le marché des barbituriques et autres produits qui, pris à dose suffisante, provoquent le coma et la mort.

 

Alors prétendre que ne plus rien posséder rend les gens heureux est une manipulation pour réaliser à peu de frais un transfert des libertés individuelles vers une institution déshumanisée, liberticide et homicide. Les médias sous contrôle affirment qu’il s’agit d’une « volonté commune », que « c’est bon pour l’environnement », « pour la santé » et utilisent d’autres chemins balisés que les esprits assoupis accueillent comme une évidence. La dialectique du contrôle est bien rodée.

La vérité est souvent toute autre ; elle consiste à proposer aux populations un changement permanent – professionnel, technologique, familial – de manière à déstabiliser les personnes pour mieux leur inculquer la voie à suivre, celle choisie par la caste, en donnant l’illusion qu’il s’agit d’un choix personnel en réalité construit par un environnement prédéterminé à la fois politique, économique et médiatique.

La proposition de Klaus Schwab n’est rien d’autre qu’une mise en esclavage, par ailleurs déjà amorcée. Ils veulent un peuple soumis, asservi et sous contrôle. Une « dictature soft » diront quelques-uns. Mais cela n’existe pas, ce que certains analystes perçoivent comme une pente douce aboutit au précipice dans lequel tomberont ceux qui se laissent glisser sur la pente. Réveil et opposition civique non violente sont urgents.

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CRÉDIT SOCIAL A LA CHINOISE

Les médias mainstream nous rebattent les oreilles avec cette expression "crédit social à la chinoise". Pour vous informer, je vous propose un article de Pierre SEL, dont les recherches portent principalement sur le système chinois de crédit social et sur l'utilisation des nouvelles technologies en CHINE : il remet les choses à leur juste place. 

pangolins&mantilles

 

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