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Pangolins et mantilles

Pangolins et mantilles

Blog d'information alternative - Nous vivons une époque troublée de dictature "sanitaire" et de manipulation à l'échelle mondiale... 


Rapport annuel de situation Covid planétaire du 1er Janvier 2024 0h00 GMT, Général D. Delawarde

Publié par pangolins&mantilles sur 14 Février 2024, 16:08pm

Catégories : #COVID-19, #Général Dominique DELAWARDE, #MENSONGES ET MANIPULATIONS, #SITUATION COVID PLANÉTAIRE 1-01-2024, #VACCINATION

 

SOURCE : Réseau International

 

 

La crise sanitaire Covid s’est poursuivie au cours de l’année 2023. J’ai donc fait un rapport final qui fait apparaître des dernières données factuelles bien étranges qui permettent de remettre les pendules à l’heure.

261.000 décès attribués à la Covid ont été déclarés en 2023, ce qui est dérisoire à l’échelle planétaire.

Les 31 pays de l’OTAN, très vaccinés et présumés très protégés, dont certains ne déclarent plus leurs décès Covid depuis 6 mois (UK, France, Espagne par exemple) et qui ne représentent que 12% de la population mondiale, ont déclaré les deux tiers des pertes mondiale en 2023 (171 640 décès).

Le reste du monde (88% de la population mondiale) a déclaré 89 500 décès.

Les USA (71 800 décès) et le Royaume-Uni (32 440 sur les 6 premiers mois de l’année puisqu’il n’ont pas déclaré les 6 derniers mois) affichent les deux plus grands nombres de décès de la planète sur 2023 : (Ils cumulent, à eux deux, 40% du total des décès planétaires) ??? C’est plus, à eux deux, que la totalité du monde non otanien. Y aurait-il un problème spécifique au monde anglo-saxon.

L’Allemagne (18 654 décès) et l’Italie (10 268 décès) se placent en 4ème et 5ème position mondiale pour l’année 2023.

Ces pertes sont évidemment dérisoires mais le classement 2023 montre que le vaccin n’a pas apporté de grands bénéfices à ces pays comparés à des pays beaucoup moins vaccinés. L’Afrique, continent dans lequel l’épidémie est terminée depuis longtemps (1,4 milliards d’habitants) n’a déclaré que 524 décès Covid pour toute l’année 2023

Je laisse à chacun le soin de découvrir ce rapport le plus exhaustif possible.

*

Avant propos : «On peut débattre de tout, sauf des chiffres» (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr).
Propagande gouvernementale reprise inlassablement en octobre et novembre 2021 par la «meute» des médias mainstream français… et abandonnée depuis parce que les chiffres deviennent dérangeants…
Il convient donc de faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.

Remarques sur le tableau ci-dessus :

Avec près de 376,5 millions de tests positifs déclarés en 2022 dans une population mondiale de 8 milliards d’habitants qui avait déjà reçu 9,2 milliards de doses de vaccin en 2021, on réalise que la contamination n’a jamais été réduite par le vaccin, bien au contraire, puisqu’elle a été 4,5 fois plus importante en 2022 sur des populations vaccinées, qu’en 2020 sans vaccin. Qui ne connaît pas parmi ses proches des gens double, triple ou multi-vaccinés qui ont attrapé la Covid en 2022 ?

Le slogan «Tous vaccinés, tous protégés» était donc un énorme mensonge répété ad nauseam par les pseudo-scientifiques, les politiques et leurs relais médiatiques, corrompus par Big Pharma. Les populations vaccinées, souvent par la contrainte, s’en sont rendues compte puisqu’elles ont très vite renoncé aux rappels conseillés et/ou prescrits par les autorités gouvernementales et médicales. (0,43 milliards de doses de primo-vaccination ou de rappel sur la planète en 2023 contre 9,2 milliards en 2021…)

La grande majorité des contaminations et des décès des années 2022 et surtout 2023 l’a été dans des pays très vaccinés d’Europe et d’Amérique du Nord (Voir les détails dans les tableaux qui suivront). L’Europe est d’ailleurs restée l’épicentre de l’épidémie depuis octobre 2021, sans discontinuer, ce qui est la preuve que la stratégie du tout vaccinal n’y a jamais fonctionné. Elle ne compte que 9,5% de la population mondiale mais déclare encore sur décembre 2023, plus de 51% des décès enregistrés sur la planète. C’est un fait difficilement contestable, même par les «déconneurs» du Monde ou de Libération qui ont réponse à tout et qui ignorent superbement ces données factuelles.

 

Où est donc passé le miracle vaccinal en Europe ?  Cherchez l’erreur.

Avec le variant Omicron (et ses sous-variants BA) très contagieux mais très peu létaux, surtout et y compris dans les pays peu vaccinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas quotidiens déclarés sur la planète (pour la plupart Omicron) a été multiplié par 6 entre le 1er décembre 2021 et le 25 janvier 2022 (3,4 millions de cas/j). Il a ensuite été divisé par près de 80 pour s’établir aujourd’hui à 43 500 tests positifs /jour, (moyenne sur 7 jours.) au 1er janvier 2024. Autant dire que la pandémie est quasiment terminée.

Alors que le nombre de décès sur une population pourtant très vaccinée a culminé à 74 000 décès/semaine dans la 2ème semaine de février 2022, il est désormais inférieur à 2000 décès/semaine dans la dernière semaine de décembre 2024, soit une division par 37 de la mortalité hebdomadaire. La Covid est donc devenue une maladie respiratoire beaucoup moins létale que la grippe saisonnière.

Malgré une vaccination de masse menée tambour battant depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vaccination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021. Pour 2022, les chiffres de contamination ont été bien pire (multiplication par 4,5) et la mortalité, à peine meilleure, qu’en 2020, sans vaccin. Pour 2023, les pays en développement les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie se sont sortis beaucoup plus vite de l’épidémie que les pays développés les plus vaccinés. Ce sont des faits avérés.

Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 13,53 milliards d’injections vaccinales pour une population de 8,08 milliards d’habitants ; injections vaccinales «vendues» par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ça n’a manifestement pas été le cas au cours de l’année 2021 et le recul a été faible en 2022. En 2023, l’épidémie s’est quasiment éteinte progressivement et surtout naturellement, mais moins vite dans les pays les plus vaccinés que dans les autres.

C’est probablement la raison pour laquelle l’immense majorité de la population mondiale a désormais renoncé aux rappels de vaccination, les fameux «boosters», malgré les recommandations persistantes dans certains pays jusqu’au-boutistes, dont la France. Avec deux injections annuelles recommandées, le nombre de 9,1 milliards d’injections de l’année 2021 aurait dû se maintenir en 2022 et en 2023. Or, il est tombé à 3,9 milliards en 2022 et à 0,43 milliard en 2023 et le rythme d’injection continue de baisser très rapidement (3 000 /jours pour 8,08 millards d’h aujourd’hui). On notera avec intérêt que la mortalité attribuée à la Covid a nettement diminué en 2023, alors même que 95% des populations de la planète ont renoncé d’elles-mêmes aux recommandations gouvernementales d’un booster tous les 6 mois.

Comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie Covid-19 a fini par régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :

• La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. Ça a été le cas du Omicron et de ses derniers variants et sous-variants.

• Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la Covid s’est progressivement «vidé» par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois.

• Dans de nombreux pays, une meilleure prise en charge des patients et l’apparition et/ou l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la Covid ont réduit considérablement la mortalité liée à ce virus.

• L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, vaccinée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, a également contribué à la baisse de la létalité. À cet égard, le variant Omicron et ses sous-variants, très contagieux mais très peu létaux, ont joué le rôle de véritables vaccins naturels pour ceux qui ont contracté la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.

Notons qu’avec les guerres en Ukraine puis en Palestine qui impactent la planète entière, les médias ont eu de nouveaux os à ronger. Les grands titres de l’actualité s’en trouvent considérablement changés mais les médias et les politiques continuent à surfer sur la peur et à manipuler l’opinion sur ces nouveaux sujets.

C’est d’ailleurs le rôle qui leur est attribué, dans tous les pays du monde, dans le cadre de leur participation à «la guerre de l’information», qui se fonde trop souvent sur des mensonges éhontés, répétés en boucle.

En France, la campagne présidentielle de 2022 a été largement occultée, elle aussi, par la crise ukrainienne, dont les conséquences risquent fort d’impacter nos vies beaucoup plus que la Covid-19, surtout si la gestion de cette crise continue d’être aussi maladroite et contre-productive que celle de la Covid-19, tant au niveau national qu’européen ou otanien, ce qui semble être le cas.

Vouloir régler les problèmes qui vont se poser en empruntant toujours plus d’argent, en vivant à crédit, en vivant au-dessus de ses moyens, en «sanctionnant» toujours plus ceux qui ne partagent pas le narratif dominant, trop souvent mensonger, sans prendre en compte les effets boomerang, ne sont pas des stratégies efficaces et durables, tant pour la «guerre à la Covid» que pour les guerres ukrainienne et israélo-palestinienne. L’explosion de la dette aura forcément une limite… et ne pourra qu’accélérer le déclassement de certains pays, dont le nôtre, déjà en cours et bien avancé.

Pour en revenir à la Covid-19, les données présentées par différents pays (UK, France, Israël, Italie) montrent que seulement 12% environ des décès attribués à la Covid peuvent être attribués uniquement à la Covid et de manière certaine. 88% des décès auraient donc pu être attribués à l’une ou l’autre des multiples comorbidités dont souffraient les patients décédés. Autrement dit, le nombre de 7 millions de décès sur quatre ans est certainement surévalué, et pas qu’un peu. Il pourrait fort bien être de l’ordre de 1 million qui, réparti sur 4 ans, deviendrait un nombre dérisoire au niveau planétaire. De là à dire que cette «pandémie» a été plus médiatique et politique que réelle, il n’y a qu’un pas que je n’hésite plus à franchir…

*

Alors que les acteurs politiques, médiatiques, sanitaires et Big Pharma comptent sur la faculté d’oubli des populations pour échapper à leurs responsabilités dans la gestion désastreuse de cette épidémie et dans les méthodes utilisées, dignes de gouvernances totalitaires, des collectifs de citoyens persistent à vouloir que la lumière soit faite sur l’inefficacité vaccinale constatée, sur les effets secondaires des vaccins, sur la corruption de la commission européenne et de nombreuses personnalités exécutives ou sanitaires au niveau national et/ou européen. Il est désormais envisageable que les principaux responsables du désastre vaccinal soient identifiés, et sanctionnés lorsque les vents changeants auront jeté hors des palais nationaux les gouvernances qu’on y trouve encore. Les membres de ces gouvernances devraient craindre qu’il n’y ait ni oubli, ni pardon.

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Vidéos et documents «alternatifs» et intéressants sur la vaccination
et la gestion de la crise sanitaires

 

1. Sur la désinformation politique et médiatique qui a fortement marqué la gestion de l’épidémie dans le monde et en France

 

Le scandale dit : «Lockdown Files» révélé par le Daily Telegraph au Royaume-Uni et repris, brièvement hélas, par les médias du monde entier, ont clairement montré que l’incompétence de la classe dirigeante britannique a été à l’origine d’un autoritarisme sanitaire contre-productif.

Bien sûr, ce constat n’est pas applicable à la France dont les dirigeants, infiniment plus malins que leurs homologues britanniques, ont eu le bon goût et la bonne fortune de ne pas se faire prendre, jusqu’à présent, les doigts dans la confiture. Il est vrai que l’omerta et/ou la discrétion des médias français sur les Lockdown Files, et le «Secret Défense» appliqué aux délibérations des fameux «Conseil de Défense» ont aidé l’exécutif macronien à échapper, pour un temps, à la vindicte populaire.

S’agissant des médias et de la désinformation une autre vidéo de Jean Dominique Michel, anthropologue suisse du 15 novembre 2023, Meurtres de masse en Ehpad : l'état meurtrier

et une autre du 14 décembre 2023 : « Autopsie d'un désastre », une analyse anthropologique de Jean-Dominique " MICHEL

 

2. Les effets secondaires des vaccins

 

Suède : chute du taux de natalité suite aux vaccinations Covid. Entretien avec le psychiatre Sven Román - France Soir

 

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