Les enjeux n’ont jamais été aussi élevés dans notre combat continu contre le Traité sur les pandémies de l’OMS.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a dévoilé un autre projet de cette proposition alarmante, destinée à devenir l’outil principal pour gérer les crises de santé mondiale.
Ils prévoient d’en discuter à huis clos avant Noël. Le but final ?
Lancer leur offensive dès 2024, cherchant à devenir l’autorité sanitaire mondiale avant que « la prochaine pandémie ne frappe », et c’est à nous de les arrêter.
Il ne s’agit pas de santé ; il s’agit de qui détient les rênes du pouvoir en temps de crise. Alors qu’ils se rapprochent de plus en plus de la finalisation des négociations, nous ne pouvons pas nous permettre de reculer.
La prochaine réunion de l’Organe de Négociation Intergouvernemental (INB) prévue le 4-6 décembre va révéler s’il y a un « consensus » mondial suffisant pour ratifier le Traité sur les pandémies dans les États membres.
Cela pourrait être un moment révolutionnaire, qui pourrait peut-être ouvrir la voie à la ratification du Traité à temps pour la date limite fixée de mai 2024.
Le dernier projet comprend des propositions démesurées qui vont bien au-delà d’une simple « gestion de la santé ». Les principaux changements incluent :
Définition expansive de ‘Partie’ – le terme s’étend maintenant au-delà des États, diluant potentiellement la souveraineté nationale.
(g) “Party” means a State or regional economic integration organization that has consented to be bound by this Agreement, in accordance with its terms, and for which this Agreement is in force;
Mécanisme de Financement Permanent – Cette proposition institutionnaliserait le soutien financier pour les mécanismes du traité.
Gestion Centralisée de la Politique de Santé – L’OMS obtiendrait une autorité significative sur la gouvernance de la santé mondiale, éclipsant l’autonomie des États membres.
Autonomie de l’OMS dans la Déclaration des Pandémies – Le Directeur-Général pourrait déclarer indépendamment le statut de pandémie, impactant les économies et les libertés civiles.
Combat contre les “Fausses” Informations – Des dispositions vagues pourraient conduire à des restrictions sur la liberté d’expression sous prétexte de contrôler la propagation des maladies.
La « pleine considération pour la dignité, les droits de l’homme et les libertés fondamentales des personnes » a disparu