Vaccination : un conditionnement planétaire de deux siècles - Des balbutiements à 2024

SOURCE : Marguerite ROTHE  5-10-2024

« Pour vaincre cette pandémie, il faudra vacciner le monde entier », clamait la corrompue en chef de l’Union Européenne, alias Ursula Von Der Leye ; une grande malade, qui prend très au sérieux son rôle de présidente-marionnette.

Le 18 juillet 2024, Ursula Von Der Leyen a été réélue à la présidence de la Commission Mafia européenne

J’écrivais à son sujet, en 2022 : « Bon chic, bon genre », l'expression colle parfaitement au personnage. Et puis, mère de famille de sept enfants, ça force le respect. Une femme telle que celle-là peut-elle être mauvaise ? Malfaisante ? Malveillante ? Oui. Oui. Et oui. C'est l'une de ces femmes renégates qui jalonnent les marches de l'Histoire. L'une de celles dont on peut inclure le portrait, sans dilemme de conscience, dans la galerie des monstres. Ni la première ni la dernière, ce sont des individus comme elle : malades mentaux, affublés d’une grande noirceur d’âme et dont le souhait le plus cher est d’exterminer une humanité qu’ils exècrent.

Avant de poursuivre, j’étaye quand même mes propos avec deux articles publiés sur mon ancien blogue :

Dans le texte qui suit, l’auteur nous explique comment a opéré la mafia occulte pour mettre en place la vaccination ; de nos jours, un acte quasiment religieux.

Dans cet article Playbook pour empoisonner les populations avec des vaccins et autres produits biologiques., l’auteur, Catherine WATT explique à ses abonnés :

Je travaille toujours sur un rapport retraçant l'histoire de la non-réglementation fédérale américaine des produits biologiques et des vaccins (fraude à la réglementation pharmaceutique légalisée pour dissimuler un empoisonnement de masse intentionnel) de 1798 à 1972, et j'espère le terminer d'ici deux ou trois semaines.

Et, d’ajouter plus loin :

Edward JENNER

Alors que je m'efforce de mieux comprendre quels scientifiques en matière de virus et de vaccins et quels régulateurs pharmaceutiques ont fait et n'ont pas fait quoi, et quand ils ont fait ou n'ont pas fait, ce qui a été fait et ce qui n'a pas été fait - en remontant aux travaux d'Edward JENNER en 1796, en intensifiant leurs efforts avec le travail de Louis PASTEUR, de Robert KOCH et de leurs disciples qui ont fondé le domaine de la microbiologie dans la seconde moitié du 19e siècle, et qui s'est encore intensifié avec les travaux de John Endersen 1949 — j'ai écrit une ébauche du manuel du gouvernement fédéral américain sur l'empoisonnement mondial tel que je le comprends actuellement.

Étape 1 – Annoncer la menace de maladie

Les porte-parole scientifiques employés par l'armée impériale américaine affirment qu'une maladie infectieuse (un ensemble de symptômes physiques observables) existe et constitue une menace mortelle pour les êtres humains, les animaux ou les deux.

Les affirmations scientifiques et militaires sur la maladie sont transcrites et publiées dans des revues scientifiques, des journaux et des magazines financés par l’armée impériale américaine et les banques centrales.

En résumé, la maladie est la chose A.

 

Étape 2 – Annoncer la cause de la menace de maladie

Les porte-parole scientifiques employés par l'armée impériale américaine affirment avoir identifié un micro-organisme biologique, une molécule ou un fragment chimique transmissible (par l'air, l'eau ou la nourriture) (une partie d'une molécule portant un nom, car on peut également la trouver dans d'autres molécules) qui provoque la maladie ( agent causal ou principe ).

Les affirmations scientifiques et militaires sur la cause de la maladie sont transcrites et publiées dans des revues scientifiques, des journaux et des magazines financés par l’armée impériale américaine et les banques centrales.

Pour résumer le playbook, l'agent causal ou le principe est la chose B.

Louis PASTEUR

Étape 3 – Annoncer un traitement prophylactique ou un traitement dérivé biologiquement de l'agent causal ou synthétisé chimiquement pour simuler celui-ci.

Les porte-parole scientifiques employés par l'armée impériale américaine affirment qu'en partenariat avec des scientifiques employés par des sociétés pharmaceutiques (qui sont également sous contrat financier pour fournir du matériel à l'armée impériale américaine), ils ont conçu des médicaments , incorporant des molécules ou des fragments dérivés de la propagation biologique de l'agent causal ou synthétisés/fabriqués pour être des copies des molécules ou des fragments de l'agent causal.

Les porte-parole scientifiques annoncent que l'injection (ou tout autre mécanisme d'administration) du médicament exposera artificiellement, efficacement et sans danger le système immunitaire humain ou animal à l'agent causal et/ou modifiera et renforcera la réponse du système immunitaire à l'agent causal, afin de prévenir l'infection par l'agent causal (prophylactique ou préventif), et/ou faire de la maladie (chose A) provoquée par l'agent causal (chose B), une menace plus douce et moins mortelle (traitement).

Les affirmations scientifiques et militaires sur les prophylactiques et les traitements sont transcrites et publiées dans des revues scientifiques, des journaux et des magazines financés par l’armée impériale américaine et les banques centrales.

Pour simplifier le playbook, ces substances médicinales sont la Chose C.

Robert KOCH

Étape 4 – Annoncer la fabrication industrialisée du prophylactique ou du traitement

Les porte-parole scientifiques employés par l’armée impériale américaine affirment avoir signé des contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour propager (biologiquement) ou synthétiser (physico-chimiquement) en coopération et conditionner de grandes quantités de molécules et de fragments prophylactiques ou thérapeutiques.

Les affirmations scientifiques et militaires sur la propagation biologique, la synthèse et le conditionnement physico-chimiques sont transcrites et publiées par des revues scientifiques, des journaux et des magazines financés par l’armée impériale américaine et les banques centrales.

Pour simplifier le playbook, ces procédures de propagation ou de synthèse biologiques, physiques et chimiques sont le processus A.

Étape 5 – Annoncer un système d’établissement de règles et d’application de la conformité (réglementaire)

Les porte-parole scientifiques employés par l'armée impériale américaine affirment qu'une équipe indépendante d'inspecteurs scientifiques est légalement tenue, et possède un historique démontré, de :

• établir des normes mesurables et des règles exécutoires et appliquées régissant la communication véridique au public de l'identité et de la propagation de la maladie (Thing A) ;

• valider le lien de causalité entre le micro-organisme ou la molécule (chose B) et la maladie (chose A) ;

• valider le lien de causalité entre le micro-organisme ou la molécule (Thing B) et les médicaments (Thing C) ;

• valider la composition physique, chimique et biologique du contenu de l'emballage prophylactique et thérapeutique (chose C) ;

• valider le lien de causalité entre les médicaments (Thing C) et la prévention ou le traitement de la maladie (Thing A) ; et

• valider la conformité des techniques de propagation biologique ou de synthèse physico-chimique et de conditionnement (Procédé A) à des normes ou règles objectives limitant le contenu des médicaments finis (Chose C) aux seuls micro-organismes ou molécules efficaces et inoffensifs.

Les affirmations scientifiques et militaires concernant l’établissement de règles, le contrôle de leur conformité, les procédures d’inspection et de validation sont transcrites et publiées par des revues scientifiques, des journaux et des magazines financés par l’armée impériale américaine et les banques centrales.

En résumé, les procédures d'établissement des règles, de surveillance de la conformité, d'inspection et de validation sont le processus B. »

 

NB : Ces citations ne sont que des extraits de l’article cité en préambule dont je vous recommande chaudement la lecture

L’auteur fait démarrer son enquête en 1798, aux États-Unis, une toute jeune nation née le 4 juillet 1776. Sa recherche, axée sur l'histoire de la non-réglementation fédérale américaine des produits biologiques et des vaccins […] pour dissimuler un empoisonnement de masse intentionnel. Aux États-Unis, donc. 

Pour ma part, il y a quelques mois, je suis tombée tout à fait par hasard sur un vieux livre dont le titre m’a hautement intriguée ; en effet, The Fallacy of the vaccination [Le Sophisme de la vaccination], écrit par le Dr Alexandre WILDER, publié en 1878, semblait ne pas y aller par quatre chemins.

Vaccination : une mystification au long cours

Vaccination : une mystification au long cours

MARGUERITE ROTHE

·

25 FÉVRIER 2023

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Ce que nous apprend ce petit livre, c’est que les populations sont travaillées au corps et à l’esprit depuis plusieurs générations.

C’est à ce moment-là que l’on réalise que l’enjeu de la caste dirigeante n’est pas le bien de l’humanité mais, au contraire, sa domination. Et, pour être encore plus précise : sa domestication. Un “Plan” dont les racines s’enfoncent profondément dans le temps. À une époque où les médecins s’appelaient « sorciers » et qu’ils étaient les maîtres de la Pharmakeia (généralement traduit par : enchantements, magie) ; pour comprendre de quoi il retourne, je vous renvoie à la série documentaire sur l’histoire occulte du complexe de l’industrie pharmaceutique : Le Culte des médecines, réalisée par le chercheur David Whitehead. Une série d’une très grande densité, au point que vous n’aurez pas le choix de la visionner plusieurs fois. Vous découvrirez à quel point notre monde ploie l’échine sous un joug littéralement infernal. Une série que je vous recommande de télécharger et de stocker, car elle représente un témoignage exceptionnel, tant de notre époque que du passé. 

Le monde est donc confronté à une mafia qui n’a cessé d’enserrer la planète entière de ses tentacules, depuis plus de deux siècles. Cette force obscure est parvenue à ses fins à force de patience, de corruption, de crimes en tout genre ; mais également grâce à une grande intelligence, il faut le dire aussi. Ils ont commencé par tisser autour d’eux un bouclier invisible qui leur obtiendrait, quoi qu’ils fassent, immunité et privilèges ; ce qu’explique formidablement bien la journaliste d’investigation Corey LYNN :

Couper la tête du serpent consisterait à annuler toutes les immunités et privilèges qui sont clairement des « outils » de destruction massive des peuples et du monde en général.

Ils veulent le contrôle total, pour cela, le troupeau qu’ils envisagent de cornaquer ne doit pas être trop important.

Ni trop intelligent. En attendant de faire le grand ménage, ils font leurs expérimentations. Tous ces vaccins, ces “remèdes” qu’ils testent ne seront pas pour le plus grand bien de l’humanité, au bout du compte ; pour le moment, celle-ci n’est seulement qu’un immense réservoir de cobayes. Ils sont si proches du but qu’ils se moquent que nous sachions, que nous ayons découvert leurs intentions, puisqu’ils ne font même plus d’essais préliminaires. Les gens sont injectés directement ou presque avec leurs mixtures (souvenez-vous : il leur a fallu moins d’une année pour mettre au point un vaccin alors qu’il faut généralement dix ans de recherches !) baptisées “vaccins” contre un virus fabriqué en laboratoire, je parle du K0vyd19, bien sûr.

Je vais quand même récapituler les excuses qu’ils nous ont fournies à l’époque :

- Il y a eu des investissements massifs faits par plusieurs pays. LOL

- La recherche scientifique avait fait un bond de géant ces dernières années. LOL

- De nouvelles « plates-formes » de fabrication des vaccins étaient disponibles. LOL

- Les demandes d’autorisation de mise sur le marché ont été déposées alors que les essais cliniques  étaient toujours en cours (objectif : gagner du temps !) LOL

- La recherche put s’appuyer sur d’anciens travaux sur les coronavirus, comme le Sras, en 2003. LOL

Il y avait aussi les raisons logistiques pour expliquer la rapidité dans la livraison des vaccins (emballage moins soigné et pas forcément de notice en français dans la boîte (on parle d’un produit expérimental, hein !) LOL

Sources :

- https://www.radiofrance.fr/franceinfo/podcasts/le-vrai-du-faux/il-faut-dix-ans-pour-creer-un-vaccin-comment-un-vaccin-contre-le-covid-19-a-finalement-ete-trouve-en-un-temps-record-1242481

-  https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/12/23/vaccin-anti-covid-les-raisons-de-ce-record-de-vitesse_6064337_3244.html

-    https://archive.ph/oVBS2

Un foutage de gueule pharaonique. Une chutzpah cosmique.

Récapitulons : ça fait quarante ou cinquante ans que j’entends parler de recherches sur le cancer (littérale pompe fric) ; et là, une maladie totalement inconnue (à ce qu’ils disent) déboule sur la planète et hop, ils sortent de leur chapeau magique un vac·cin en l’espace de moins d’une année !? 

Je n’achète pas. Merci.

Arrivé à ce stade, chacun peut comprendre que les peuples sont littéralement pris en otages par une clique tout bonnement démoniaque. Et ce ne sont pas les Poutine, les Trump, ou n’importe quel autre bonhomme, ou même les “B.R.I.C.S.”, qui feront s’écrouler cet Himalaya de corruption. Parce que ces hommes-là font partie intégrante du Système. Ils sont tous des mondialistes convaincus. Ils ne feront pas s’effondrer sur elle-même la doctrine globaliste (ce communisme 2.0, qui ne dit pas son nom), qui ronge comme un cancer notre planète. Eux, les méchants, ils savent qu’ils vont tout casser ; eux, parce qu’ils sont richissimes et très intelligents (à leur manière, mais oui, ils le sont) ils survivront. Quant à la masse, elle fera ce qu’elle pourra, avec ses moyens physiques et intellectuels. Il faut donc que nous nous armions, spirituellement et matériellement ; surtout spirituellement, parce qu’une âme forte rend un corps fort. 

Piqûre de rappel :

Pour ceux qui font encore la confusion : il ne faudrait pas confondre mondialisation et mondialisme. La première étant le mouvement naturel inhérent à toutes les civilisations, et qui existe depuis les temps les plus reculés de l'histoire humaine. L'Homme, allant toujours plus loin à travers les terres, franchissant les cols des montagnes, et traversant mers et océans, a toujours échangé et troqué.    Notre Histoire est magnifique.

L'inspecteur des vaccinations tient entre ses mains la loi sur la vaccination obligatoire. La mort elle-même vaccine. (illustration sans date ; possiblement fin 19e)

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