Article publié le 20/12/2021 à 21:49 : Me Di Vizio annonce le lancement d’une association pour les non vaccinés de toute l’Europe
Complété le 23/12/2021 à 18h34 : Fabrice Di Vizio et ses combats dans la crise du Covid
Me Di Vizio annonce le lancement d’une association pour les non vaccinés de toute l’Europe
Nous nous battrons jusqu’à bout ! Ce soir nous déclarons la guerre à notre gouvernement !
Nous n’avons pas dit notre dernier mot et ne cédez pas !
Ne cédez ni à la tentation ni à la peur !
Les tyrans sont tombés, ceux-là tomberont aussi !
Nous sommes en guerre ...
En guerre contre notre gouvernement. Nous sommes en guerre contre l'absurdité. Nous sommes en guerre contre le mensonge. Nous sommes en guerre contre les intérêts financiers. Nous sommes en guerre contre la corruption qui a été érigée en règle de gouvernement avec l'imbécilité de quelques médecins aussi bêtes que corrompus pour certains.
Cette guerre nous allons la gagner.
Création d'une association de défense et de représentation des non vaccinés ... nous serons des millions puisque des Italiens sont d'accord pour nous rejoindre. Nous aurons partout en Europe des membres de cette association.
Nous saisirons le Comité des Droits de l'homme de l'ONU...
Nous allons nous battre, nous battre ensemble, nous battre avec tous les moyens dont nous disposons, nous battre jusqu’à bout et ... le meilleur est à vivre !
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Cette interview a été faite la veille de la déclaration de Castex sur la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal. Le soir même Fabrice Di Vizio reprenait le combat. Il vient de créer une association de non vaccinés et mènera de nombreuses actions entre autre autres juridiques et de lobbying auprès des élus.
SOURCE : Le Courrier des Stratèges
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Fabrice Di Vizio et ses combats dans la crise du Covid - Entretien avec Nelly Fouks
Fabrice Di Vizio : Je suis avocat dans le domaine de la santé et santé publique avec un cabinet à Paris, Rome et bientôt à Bruxelles. J'en avais un à Washington qui a dû fermer avec la crise...
Avocat réputé depuis de longues années dans le domaine de la santé et de la santé publique, Maitre Di Vizio s’est fait connaître du grand public à la faveur de la crise du Covid. Il revient sur les différentes actions qu’il a menées depuis bientôt 2 ans dans un entretien accordé à Nelly Fouks.
Nelly Fouks : Précurseur dans la lutte contre le covidisme, vous êtes avocat spécialisé dans la santé.
Fabrice Di Vizio : Je suis avocat dans le domaine de la santé et santé publique avec un cabinet à Paris, Rome et bientôt à Bruxelles. J’en avais un à Washington qui a dû fermer avec la crise du covid. Nous avons géré les crises de santé publique depuis 20 ans : H1N1, chikungunya, médiator, dossiers sur la réglementation des soins esthétiques. J’étais également enseignant et la fac de médecine où je faisais des cours sur le médicament et depuis une dizaine d’années j’explique qu’un jour, sans doute à la faveur d’une crise, l’industrie pharmaceutique poussera à ce qu’on réduise les délais d’obtention des autorisations de mise sur le marché (AMM) parce que ça fait 20 ans qu’elle se plaint que les délais sont trop longs, arguant qu’elle ne sauve pas assez de vie. Cela fait 20 ans qu’elle plaide pour un raccourcissement des délais et que les états s’y opposent. Mais à la faveur de la crise, les barrières sont tombées, l’industrie a poussé avec tout le poids de ses lobbiste et les états pris de panique ont laissé faire. Le mouvement s’était enclenché avec les AMM fractionnées fréquentes en cancérologie pour des chimiothérapies innovantes, toujours plus chères mais pas plus efficaces, dont les autorisations sur le marché ne sont jamais délivrées.
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Que pensez-vous de la santé publique en France?
La France n’a aucune culture de santé publique. Puisque l’obésité est l’un des facteurs de risque n°1 des formes graves du covid, on aurait pu impliquer les Français au travers d’une grande campagne télévisée pour mieux manger avec les meilleurs nutritionnistes, ce qui aurait eu un impact immédiat sur la santé publique et la santé des patients. Ce qui n’a pas été fait. La France a une culture de dépistage poussée parfois jusqu’à l’extrême notamment en ce qui concerne le dépistage du cancer du sein chez les femmes à partir de 28 ans. Une aberration ! Par ailleurs, il n’existe aucun suivi de santé des patients en matière de prévention et notamment de prévention du vieillissement dont on ne peut bénéficier en France qu’à prix d’or.
Vous avez été le pionnier dans le combat contre les vaccins…
Avant cela, dès février 2020, à l’époque où on nous encourageait à sortir au théâtre et aux restaurants, j’ai prévenu que l’épidémie allait flamber. Et pour une raison très simple. Il suffit d’avoir un peu de culture de santé publique pour savoir que le vecteur de toutes les épidémies est le voyage. La peste a été propagée par les canaux de commerce, la grippe espagnole par les déplacements des populations et des militaires. A partir du moment où Milan et la Lombardie, poumon économique de l’Italie, ont été mises en confinement, j’ai su que nous allions faire face à une flambée épidémique. Il faut savoir que la communauté chinoise sans doute la plus importante d’Europe se trouve en Lombardie. Que l’Italie prise de panique confine son poumon économique aurait dû nous interroger ce qui n’a pas été le cas. A l’époque, j’avais voulu publier des tribunes en expliquant comment se gère une épidémie. A savoir : il faut absolument
- protéger les soignants puisqu’on ne connaît pas le virus.
- mettre en place des circuits de consultation pour éviter que les patients ne se contaminent entre eux.
- mettre en place des jauges, des quarantaines, et surtout ne pas ouvrir grand les frontières.
Rien de tout cela n’a été fait.
Comment avez-vous réagi ?
J’ai fait mes premiers recours en mars 2020 pour exiger des masques pour les soignants ce qui m’a valu de nombreuses critiques, y compris des médecins eux-mêmes qui m’accusaient de faire peur à la population, de chercher à surfer sur l’épidémie pour me faire un nom. On m’accusait d’être alarmiste alors qu’à ce moment-là, il fallait rassurer les gens, ce qui a bien changé depuis.