Les médias ne nous informent pas : ils diffusent la propagande de la Finance, des Lobbys et Organisations internationales, infiltrées notamment par le FEM de DAVOS.
Ce sont eux qui dirigent en réalité et imposent leur décisions à nos gouvernants qui ne sont plus que des marionnettes qui pillent les finances publiques à leur profit et à celui des multinationales, au détriment des peuples.
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SOURCE : Patrice GIBERTIE 21-02-2023
La presse n’ a pas été un acteur neutre et objectif lors de la crise sanitaire. Elle a sélectionné une vérité imposée comme la Vérité. Elle a contribué à discréditer des scientifiques rreconnus, a censuré les études scientifiques les plus sérieuses. Pire , elle a pesé dans les décisions , et porte une lourde responsabilité dans les erreurs commises.
Le phénomène n’est pas nouveau, la presse, en son temps imposa la lobotomie comme parfait traitement des maladies mentales même si cette boucherie transforma des milliers de victimes en légumes vivants.
Comment la médecine a-t-elle pu accoucher d’une telle invention, et plus incroyable encore, la couronner du prix Nobel ? L’insuffisance des connaissances ne limitait pas l’esprit d’entreprise des thuriféraires de la lobotomie, qui voyaient alors des indications partout et ont eu le scalpel bien leste.
Les premières lobotomies réalisées par Egas Moniz consistaient à interrompre les circuits neuronaux responsables des troubles psychotiques. Pour cela, on glissait un petit scalpel de chaque côté du front par un trou de trépan afin de déconnecter les lobes frontaux du reste de l’encéphale avec les destructions neuronales que cela engendrait.
Des centaines de travaux académiques ont analysé la couverture médiatique de la recherche biomédicale. Ils ont montré que les observations scientifiques couvertes par les médias sont fréquemment embellies par des distorsions et omissions. Celles-ci sont souvent déjà présentes dans les publications scientifiques et se propagent, voire se renforcent, dans les communiqués de presse publiés par les institutions scientifiques. Elles sont alors reprises, souvent sans critique, par les médias. De plus, le choix des sujets traités par les médias accentue les biais de publication privilégiant les observations initiales et celles qui rapportent un effet positif. Il en résulte que les observations biomédicales rapportées par les médias sont souvent contredites par les recherches ultérieures sans que le public en soit informé.
On est pour le moins surpris de retrouver des psychanalystes parmi les plus ardents promoteurs de la technique (Serge Lebovici, qui devint par la suite le chef de file de la pédopsychanalyse, est l’un d’eux, qui rapportait avec ces collègues la pratique d’une lobotomie chez un jeune délinquant sur l’insistance de sa mère !) On assiste donc à l’engouement rapide pour la technique, en dépit de quelques réserves initiales, et de l’opposition déterminée de certains psychiatres (Baruk, notamment)
La lobotomie a été considérée comme révolutionnaire par une grande partie du public pendant plusieurs années. Dans un article publié par le New York Times en 1937, le journaliste William Laurence la présente comme une « opération chirurgicale pour l’âme ». Au total, près de 40 000 Américains ont été lobotomisés. Au plus fort de la mode, en 1949, ils ont été 5 000. La procédure était si populaire que des centaines d’individus se sont portés volontaires pour la subir une deuxième fois. Certains sont même passés trois fois sur le billard.
La lobotomie (ou leucotomie) est une intervention chirurgicale consistant à sectionner les fibres reliant différentes parties du cerveau afin de les « déconnecter ». Ce sont les lobes frontaux (cortex préfrontal) qui sont le plus souvent concernés et « isolés » du reste de l’encéphale.
Le terme de lobotomie fait souvent peur en raison de ses débuts, dans la première moitié du XXè siècle (dans les années 1930 avec le neurologue portugais Egas Moniz qui obtint le Prix Nobel en 1949). Il s’agissait d’une lobotomie destinée à traiter certaines maladies mentales telles que la schizophrénie, voire l’épilepsie, puis d’autres troubles mentaux et moteurs par la suite.
Les séquelles étaient parfois irréversibles, et altéraient en profondeur la personnalité du patient…
Cette lobotomie n’était satisfaisante ni médicalement ( et 6 % de décès) ni d’un point de vue éthique, d’autant qu’elle était irréversible.
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'Icepick Surgeon, le chirurgien « pic à glace » a fait plus de 2000 lobotomies ! Le Dr Walter Freeman était un neurologue qui a effectué plus de 2000 lobotomies au cours de sa carrière controversée.
Bien qu'il ait affirmé vouloir aider les personnes dans les services psychiatriques, Freeman a continué à faire des lobotomies même lorsqu'elles n'étaient pas justifiées. Sam Kean a déclaré à Inside Edition Digital : "Il était convaincu que les lobotomies étaient la seule façon humaine de traiter les gens."
Représentation de la lobotomie dans la presse populaire : 1935-1960
Cette étude a analysé le contenu d’articles de presse populaires sur la lobotomie entre les années 1935 et 1960. Une analyse qualitative et quantitative a fourni la preuve que la presse utilisait initialement des styles de reportages non critiques et sensationnels, le contenu des articles sur la lobotomie devenant de plus en plus négatif au fil du temps. Le biais positif initial s’est produit malgré des points de vue opposés dans la communauté médicale, ce qui a fourni une base pour une couverture plus équilibrée.
Ces résultats soutiennent la théorie selon laquelle des reportages biaisés dans des articles de presse populaires peuvent avoir été un facteur influençant l’adoption rapide et généralisée de la lobotomie en tant que traitement psychiatrique.
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