Une vingtaine d’élèves sont tombés évanouis après le vaccin.
D’autres ont souffert de maux de tête, de vertiges et d’états grippaux[1].
Une jeune fille a dû passer la nuit entière à l’hôpital.
Mais ce n’est pas malheureusement pas étonnant :
Les essais cliniques – le meilleur standard de preuve scientifique possible – ont révélé une toxicité effarante de ces vaccins anti-papillomavirus.
Les jeunes filles vaccinées avaient 50 % de risque en plus de souffrir de « troubles graves du système nerveux »[2].
Le Japon a même dû suspendre sa campagne de vaccination au motif que les « informations communiquées au public sur les effets secondaires et les risques potentiels étaient insuffisantes au vu des faits notifiés »[3].
Inquiétant n’est-ce pas, pour un vaccin que l’on va injecter massivement à toutes nos générations futures !
De graves effets secondaires déclarés
Sclérose en plaques, lupus, encéphalomyélites aiguës comme pour Océane Bourguignon, et myofasciites à macrophages (douleurs musculaires et une fatigue chronique) sont les pathologies les plus fréquemment évoquées par les victimes présumées.[4]
Aux Etats-Unis, de grands procès contre Merck sont déjà prévu pour 2023, à cause des dégâts causés par son vaccin, le Gardasil[5], et notamment :
- Fatigue chronique (encéphalomyélite myalgique)
- Le syndrome de douleur régionale complexe
- L’insuffisance ovarienne prématurée
- La fibromyalgie
- L’intolérance orthostatique / le syndrome de tachycardie posturale